Qu'est-ce que la prière de benediction ?
Prière de bénédiction : La bénédiction est une forme de prière, souvent réalisée par un prêtre, qui rend grâce et demande au Seigneur de venir sanctifier un moment ou une action particulière ou d’accompagner une personne, une assemblée. Mais également elle sanctifie, purifie les personnes, ou les animaux ainsi que les objets. Plus techniquement, une prière de bénédiction est une courte intervention destinée à remercier Dieu pour son aide et à le louer.
Prières de benedictions :
ORAISON DE TRENTE JOURS
Quiconque dira l'Oraison suivante l'espace de trente jours, en l'honneur de la très sainte Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ et de la Bienheureuse Vierge Marie sa Mère, obtiendra miséricordieusement l'effet de toutes ses demandes licites : ce qu'on a souvent vu par expérience.
Sainte Marie, éternelle Vierge des Vierges, Mère de miséricorde, Mère de grâce, et espoir de tous les désespérés ; par ce glaive de douleur qui traversa votre âme lorsque votre Fils unique Jésus-Christ Notre Seigneur endurait le supplice de la mort sur la Croix, par cette affection filiale qui le fit compatir à votre douleur maternelle, et le fit avoir soin de vous recommander à son bien-aimé Disciple saint Jean, héritier du très parfait amour qu'il vous portait ; je vous prie d'apporter compassion, et tous ensemble d'apporter remède à l'angoisse, à l'affliction, à l'infirmité, à la pauvreté, à la peine, et à quelque autre sorte de nécessité où je me suis trouvé. O refuge assuré des misérables, ô douce consolation des affligés, ô Mère de miséricorde très pitoyable, Consolatrice des désolés, et très prompte Libératrice des Orphelins en toutes leurs nécessités, voyez les larmes de ma solitude et de ma misère, et pour ce que je me vois accablé de maux et d'angoisses, à cause de mes péchés, je ne sais à qui recourir, sinon à vous, ma chère Dame, très douce Vierge Marie, Mère de Notre-Seigneur Jésus-Christ, à qui vous êtes conforme et semblable en qualité de Réformatrice de l'humanité qui vous est propre. Je vous supplie de prêter l'oreille de votre pitié ordinaire et de votre miséricorde accoutumée à mes prières, et je vous prie par les entrailles de votre très doux et miséricordieux Fils, par la douceur qu'il ressentit au temps de son alliance avec la nature humaine, qu'il délibéra conjointement avec le Père et le Saint-Esprit, de prendre notre chair mortelle pour notre salut : et qu'ensuite, ô bienheureuse Vierge, l'ange vous porta la nouvelle, le Saint-Esprit vous faisant ombre, il se couvrit de notre mortalité et demeura neuf mois dans votre sein virginal, vrai Dieu et vrai homme, puis ce temps s'étant expiré, par la coopération du Saint-Esprit, il daigna visiter le monde. Par l'angoisse que votre même Fils eut en son cœur, lorsqu'il pria son Père Eternel sur le Mont des Olives, que s'il se pouvait faire, il fut délivré du Calice de sa Passion.
Par cette triple Oraison, comme aussi par cette triste démarche dont vous le suivîtes en pleurant sans l'abandonner jamais dans tous les obstacles de sa Mort et Passion. Par les opprobres et les outrages, les crachats, les soufflets, les moqueries, les faux témoignages et le jugement injuste qui fut donné contre lui. Par cette Robe sans couture, gagnée par le hasard du jeu ; par ces liens et ces coups de verges ; par les larmes qu'il versa trois fois, par les gouttes de sa sueur de sang, par sa patience et son silence, par sa crainte, son ennui et la tristesse de son cœur, par la honte qu'il reçut se voyant tout nu en la Croix pendant votre présence, ô pitoyable Vierge, et celle de tout le peuple. Par son Chef Royal, par son sang divin, par son roseau brisé, par sa couronne d'épines, par la soif, par le dégoût qu'il eut du vinaigre détrempé de fiel, par la lance qui lui perça son Côté sacré, par le sang et l'eau qui découlèrent de ses Plaies, et nous furent de vives sources de grâce et de miséricorde.
Par les clous dont ses Pieds et ses Mains furent percés, par la recommandation qu'il fit de sa chère âme à son Père, par son doux Esprit, qu’il rendit, criant hautement : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'avez-vous délaissé ?» et baissant la tête, il dit : « Tout est consommé ». Par la rupture du Voile du Temple et des pierres, par l'éclipsé du Soleil et de la Lune, par la miséricorde qu'il exerça envers le bon Larron, par sa Passion et sa Croix, par sa descente aux Limbes, par la joie qu'il communiqua en sa visite à toutes les âmes justes, par l'honneur et la gloire de sa triomphante Résurrection, par les apparitions qu'il fit l'espace de quarante jours à vous, ô sainte Vierge, aux Apôtres, et aux autres âmes délivrées. Par son Ascension, en laquelle à la vue de tous les Apôtres, il fut élevé dans le Ciel ; par la grâce du Saint-Esprit Consolateur qu'il répandit dans le cœur de ses Disciples en forme de langues de feu, et par eux-mêmes il la fit porter dans tous les endroits de la terre.
Par le terrible jour du Jugement auquel il doit venir juger les Vivants et les Morts, et tout le monde par le feu ; par toute la compassion que vous eûtes avec lui en ce monde, par la douceur de ses baisers, par la joie ineffable de votre Assomption, jour auquel en la présence et en la compagnie de votre Fils vous fûtes ravie au Ciel ou Vous êtes comblée des joies et des délices éternels. Je vous prie de faire en sorte que mon cœur en soit participant, et maintenant d'écouter ma prière, et de m'accorder la demande que je vous fais avec toute l'humilité et la dévotion qu'il m'est possible.
(Demandez ici ce qu'il vous plaira).
Et comme je sais très bien que votre Fils vous honore tant, qu'il ne vous peut rien refuser, faites, ô ma très chère Mère, que je ressente facilement et promptement, pleinement et efficacement les secours de votre cœur très miséricordieux, et selon la volonté de votre très doux Fils, qui fait la volonté de ceux qui le craignent et qui se plaisent en lui, selon la prière et le désir de leur cœur, et selon la nécessité où je me trouve en plusieurs choses, et principalement en celle-ci, pour laquelle j'invoque Votre saint Nom et la vertu de son secours, afin qu'il vous plaise de m'obtenir de votre très-aimable Fils une espérance ferme, une parfaite charité dans la Foi catholique, une vraie contrition de cœur, une source de saintes larmes, une sincère et parfaite confession, une digne et suffisante satisfaction, une diligente vigilance sur moi, pour l'avenir, un grand mépris du monde, un vrai amour de mon Dieu et de mon prochain, une limitation des douleurs de votre très-cher Fils, et la mort même, s’il la faut endurer, un accomplissement de mes vœux, la persévérance aux bonnes volontés, une conversation qui vous agrée, un heureux trépas, et un vrai repentir à la fin de ma vie, avec un bon sens, une parole libre et un fin jugement : enfin la vie éternelle en la compagnie des âmes de mes parents, de mes amis, de mes frères, de mes sœurs, et de mes bienfaiteurs, tant Vivants que trépassés Ainsi soit-il !
Quiconque dira l'Oraison suivante l'espace de trente jours, en l'honneur de la très sainte Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ et de la Bienheureuse Vierge Marie sa Mère, obtiendra miséricordieusement l'effet de toutes ses demandes licites : ce qu'on a souvent vu par expérience.
Sainte Marie, éternelle Vierge des Vierges, Mère de miséricorde, Mère de grâce, et espoir de tous les désespérés ; par ce glaive de douleur qui traversa votre âme lorsque votre Fils unique Jésus-Christ Notre Seigneur endurait le supplice de la mort sur la Croix, par cette affection filiale qui le fit compatir à votre douleur maternelle, et le fit avoir soin de vous recommander à son bien-aimé Disciple saint Jean, héritier du très parfait amour qu'il vous portait ; je vous prie d'apporter compassion, et tous ensemble d'apporter remède à l'angoisse, à l'affliction, à l'infirmité, à la pauvreté, à la peine, et à quelque autre sorte de nécessité où je me suis trouvé. O refuge assuré des misérables, ô douce consolation des affligés, ô Mère de miséricorde très pitoyable, Consolatrice des désolés, et très prompte Libératrice des Orphelins en toutes leurs nécessités, voyez les larmes de ma solitude et de ma misère, et pour ce que je me vois accablé de maux et d'angoisses, à cause de mes péchés, je ne sais à qui recourir, sinon à vous, ma chère Dame, très douce Vierge Marie, Mère de Notre-Seigneur Jésus-Christ, à qui vous êtes conforme et semblable en qualité de Réformatrice de l'humanité qui vous est propre. Je vous supplie de prêter l'oreille de votre pitié ordinaire et de votre miséricorde accoutumée à mes prières, et je vous prie par les entrailles de votre très doux et miséricordieux Fils, par la douceur qu'il ressentit au temps de son alliance avec la nature humaine, qu'il délibéra conjointement avec le Père et le Saint-Esprit, de prendre notre chair mortelle pour notre salut : et qu'ensuite, ô bienheureuse Vierge, l'ange vous porta la nouvelle, le Saint-Esprit vous faisant ombre, il se couvrit de notre mortalité et demeura neuf mois dans votre sein virginal, vrai Dieu et vrai homme, puis ce temps s'étant expiré, par la coopération du Saint-Esprit, il daigna visiter le monde. Par l'angoisse que votre même Fils eut en son cœur, lorsqu'il pria son Père Eternel sur le Mont des Olives, que s'il se pouvait faire, il fut délivré du Calice de sa Passion.
Par cette triple Oraison, comme aussi par cette triste démarche dont vous le suivîtes en pleurant sans l'abandonner jamais dans tous les obstacles de sa Mort et Passion. Par les opprobres et les outrages, les crachats, les soufflets, les moqueries, les faux témoignages et le jugement injuste qui fut donné contre lui. Par cette Robe sans couture, gagnée par le hasard du jeu ; par ces liens et ces coups de verges ; par les larmes qu'il versa trois fois, par les gouttes de sa sueur de sang, par sa patience et son silence, par sa crainte, son ennui et la tristesse de son cœur, par la honte qu'il reçut se voyant tout nu en la Croix pendant votre présence, ô pitoyable Vierge, et celle de tout le peuple. Par son Chef Royal, par son sang divin, par son roseau brisé, par sa couronne d'épines, par la soif, par le dégoût qu'il eut du vinaigre détrempé de fiel, par la lance qui lui perça son Côté sacré, par le sang et l'eau qui découlèrent de ses Plaies, et nous furent de vives sources de grâce et de miséricorde.
Par les clous dont ses Pieds et ses Mains furent percés, par la recommandation qu'il fit de sa chère âme à son Père, par son doux Esprit, qu’il rendit, criant hautement : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'avez-vous délaissé ?» et baissant la tête, il dit : « Tout est consommé ». Par la rupture du Voile du Temple et des pierres, par l'éclipsé du Soleil et de la Lune, par la miséricorde qu'il exerça envers le bon Larron, par sa Passion et sa Croix, par sa descente aux Limbes, par la joie qu'il communiqua en sa visite à toutes les âmes justes, par l'honneur et la gloire de sa triomphante Résurrection, par les apparitions qu'il fit l'espace de quarante jours à vous, ô sainte Vierge, aux Apôtres, et aux autres âmes délivrées. Par son Ascension, en laquelle à la vue de tous les Apôtres, il fut élevé dans le Ciel ; par la grâce du Saint-Esprit Consolateur qu'il répandit dans le cœur de ses Disciples en forme de langues de feu, et par eux-mêmes il la fit porter dans tous les endroits de la terre.
Par le terrible jour du Jugement auquel il doit venir juger les Vivants et les Morts, et tout le monde par le feu ; par toute la compassion que vous eûtes avec lui en ce monde, par la douceur de ses baisers, par la joie ineffable de votre Assomption, jour auquel en la présence et en la compagnie de votre Fils vous fûtes ravie au Ciel ou Vous êtes comblée des joies et des délices éternels. Je vous prie de faire en sorte que mon cœur en soit participant, et maintenant d'écouter ma prière, et de m'accorder la demande que je vous fais avec toute l'humilité et la dévotion qu'il m'est possible.
(Demandez ici ce qu'il vous plaira).
Et comme je sais très bien que votre Fils vous honore tant, qu'il ne vous peut rien refuser, faites, ô ma très chère Mère, que je ressente facilement et promptement, pleinement et efficacement les secours de votre cœur très miséricordieux, et selon la volonté de votre très doux Fils, qui fait la volonté de ceux qui le craignent et qui se plaisent en lui, selon la prière et le désir de leur cœur, et selon la nécessité où je me trouve en plusieurs choses, et principalement en celle-ci, pour laquelle j'invoque Votre saint Nom et la vertu de son secours, afin qu'il vous plaise de m'obtenir de votre très-aimable Fils une espérance ferme, une parfaite charité dans la Foi catholique, une vraie contrition de cœur, une source de saintes larmes, une sincère et parfaite confession, une digne et suffisante satisfaction, une diligente vigilance sur moi, pour l'avenir, un grand mépris du monde, un vrai amour de mon Dieu et de mon prochain, une limitation des douleurs de votre très-cher Fils, et la mort même, s’il la faut endurer, un accomplissement de mes vœux, la persévérance aux bonnes volontés, une conversation qui vous agrée, un heureux trépas, et un vrai repentir à la fin de ma vie, avec un bon sens, une parole libre et un fin jugement : enfin la vie éternelle en la compagnie des âmes de mes parents, de mes amis, de mes frères, de mes sœurs, et de mes bienfaiteurs, tant Vivants que trépassés Ainsi soit-il !
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